Une cabane dans la tête
Noah a une cabane dans sa tête.
Une véritable cabane, une dans laquelle il se réfugie, dans laquelle il joue, il vit.
Ce qu’il adore avec sa cabane, ce sont les toboggans partout. Le cerveau, c’est tout plein de tuyaux. Il peut se balader pendant des heures là-dedans.
Parfois, il part également explorer dans le reste de son corps, mais c’est déjà plus risqué. Il ne s’y sent pas autant à l’abri que dans sa cabane, tout là-haut dans son cerveau, bien au chaud.
Quant à l’extérieur de son corps, n’en parlons même pas. Ce n’est pas seulement dangereux, c’est effrayant, terrifiant, impensable pour lui de s’y promener tranquillement.
Au moins dans sa cabane, lorsqu’il en a marre de la parcourir, il peut aussi y vivre toutes les autres vies qu’il s’invente.
Pas besoin de regarder un écran, pas besoin de lire, pas besoin, pas besoin, tout ça, ça ne lui sert à rien. Noah, il n’a pas besoin de quoi que ce soit pour rêver.
Son monde est tellement immense qu’il s’y perd souvent. Alors rajouter les histoires des autres par-dessus tout ça, vous comprenez bien que ça ne serait pas possible.
De plus, même sans s’égarer dans un trop-plein de pensées, le monde extérieur, il lui fait vraiment trop peur. Ce qui veut dire qu’en lire ou en regarder des morceaux, ce serait déjà trop.
Dans le monde extérieur, il y a trop de lumières, trop de bruits, trop de choses qui risquent de le toucher, de le blesser, de l’effrayer.
Noah, il ne veut rien de tout ça, c’est beaucoup trop compliqué à gérer.
Alors il reste dans sa cabane à lui, bien à l’abri dans sa tête.
Vous espériez échanger avec Noah ? Et bien, faites-le.
Il doit sortir de sa cabane pour discuter avec vous ? Et pourquoi donc ?
Si vous souhaitez lui parler, venez plutôt à la porte de sa cabane, et demandez-lui s’il accepte de la partager un instant avec vous.
Une véritable cabane, une dans laquelle il se réfugie, dans laquelle il joue, il vit.
Ce qu’il adore avec sa cabane, ce sont les toboggans partout. Le cerveau, c’est tout plein de tuyaux. Il peut se balader pendant des heures là-dedans.
Parfois, il part également explorer dans le reste de son corps, mais c’est déjà plus risqué. Il ne s’y sent pas autant à l’abri que dans sa cabane, tout là-haut dans son cerveau, bien au chaud.
Quant à l’extérieur de son corps, n’en parlons même pas. Ce n’est pas seulement dangereux, c’est effrayant, terrifiant, impensable pour lui de s’y promener tranquillement.
Au moins dans sa cabane, lorsqu’il en a marre de la parcourir, il peut aussi y vivre toutes les autres vies qu’il s’invente.
Pas besoin de regarder un écran, pas besoin de lire, pas besoin, pas besoin, tout ça, ça ne lui sert à rien. Noah, il n’a pas besoin de quoi que ce soit pour rêver.
Son monde est tellement immense qu’il s’y perd souvent. Alors rajouter les histoires des autres par-dessus tout ça, vous comprenez bien que ça ne serait pas possible.
De plus, même sans s’égarer dans un trop-plein de pensées, le monde extérieur, il lui fait vraiment trop peur. Ce qui veut dire qu’en lire ou en regarder des morceaux, ce serait déjà trop.
Dans le monde extérieur, il y a trop de lumières, trop de bruits, trop de choses qui risquent de le toucher, de le blesser, de l’effrayer.
Noah, il ne veut rien de tout ça, c’est beaucoup trop compliqué à gérer.
Alors il reste dans sa cabane à lui, bien à l’abri dans sa tête.
Vous espériez échanger avec Noah ? Et bien, faites-le.
Il doit sortir de sa cabane pour discuter avec vous ? Et pourquoi donc ?
Si vous souhaitez lui parler, venez plutôt à la porte de sa cabane, et demandez-lui s’il accepte de la partager un instant avec vous.
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